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Mobilité : rouler dans les zones à faibles émissions

09/01/2023 - 2 min de lecture

Rubrique : Tendances

Thématiques de l'article hashtagLocaux et matériel hashtagRèglementation

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Mobilité : rouler dans les zones à faibles émissions

Les zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) restreignent la circulation des véhicules polluants dans les villes et métropoles où la pollution de l’air est importante. Comment les artisans, commerçants, professions libérales peuvent s’équiper pour respecter ces nouvelles contraintes ?

Les ZFE-m sont des zones où la circulation est restreinte pour limiter la pollution aux particules fines. Seuls les véhicules les moins polluants ont le droit d’y circuler, sur la foi de leur vignette Crit’Air.

La vocation de ces zones, situées dans les grandes villes et les métropoles, est de préserver la qualité de l’air. Selon Santé publique France, 40 000 décès annuels prématurés seraient dus en France à la pollution de l’air aux particules fines, dont le trafic routier est le premier responsable.

DANS QUELLES VILLES DE FRANCE TROUVE-T-ON DES ZONES À FAIBLE ÉMISSIONS MOBILITÉ ?

La première zone à circulation restreinte a vu le jour en 2015 à Paris. On recense actuellement 11 métropoles qui ont mis en place une zone à faibles émissions mobilité (ZFE-m) : Grand Paris, Lyon, Aix-Marseille, Toulouse, Nice, Montpellier, Strasbourg, Grenoble, Rouen, Reims et Saint-Étienne.

Les villes de taille moyenne sont aussi concernées puisque la loi oblige les collectivités de plus de 100 000 habitants à étudier la faisabilité de cette mesure. D’ici 2025, les 43 agglomérations de plus de 150 000 habitants devront avoir instauré une ZFE-m.

Cette montée en puissance va impacter de nombreux professionnels qui se déplacent au quotidien pour les besoins de leur activité : artisans, prestataires de services, formateurs, consultants… Pour ceux qui disposent d’un véhicule ancien, la question de l’acquisition d’un véhicule moins polluant, électrique ou hybride, va se poser pour pouvoir continuer à se déplacer librement.

PROFITER DES AIDES FINANCIÈRES POUR ACQUÉRIR UN NOUVEAU VÉHICULE

Pour financer cette acquisition, les professionnels ont tout intérêt à profiter des aides financières en place. Leur montant est loin d’être négligeable. Le bonus écologique de l’État permet d’alléger jusqu’à hauteur de 5 000€ (voire 7 000€ les ménages modestes) la facture d’achat ou de location d’un véhicule électrique ou hybride.

De son côté, la prime à la conversion permet de percevoir, en complément, jusqu’à 10 000€ pour la mise à la casse simultanée d’un véhicule ancien. Ces aides sont cumulables entre elles, ainsi qu’avec les dispositifs mis en place par les collectivités locales. De quoi réduire sensiblement le poids financier de cet investissement.

BON À SAVOIR

Le montant de la prime à la conversion est majoré de 1 000€ dans les ZFE-m. La majoration peut même aller jusqu'à 3 000€ si une collectivité locale accorde une aide similaire en ZFE.

© Uni-médias - Février 2022 - Mis à jour Janvier 2023

Article à caractère informatif et publicitaire.
Les informations présentes dans cet article sont données à titre purement indicatif et n’engagent pas la responsabilité du Crédit Agricole ; elles n’ont en aucun cas vocation à se substituer aux connaissances et compétences du lecteur. Il est vivement recommandé de solliciter les conseils d’un professionnel.

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